[Avis] The rebellious reign, de Fong Cheung

Titre : The rebellious reign
Année : 1980
Durée : 1h26
Origine : Hong-Kong
Genre : Kung Fu

Réalisateur : Fong Cheung

Acteurs : Jimmy Lung Fong, Alan Tsui, Norman Chu, Lee Kwan, …

Synopsis : Durant la Dynastie Ching, Kang est très malade et il devient urgent de choisir un prince pour lui succéder sur le trône. Qui des princes Yin Chen et Yin Chin parviendra à ses fins ?

Avis Best : Bien souvent et outre le fait d’y prendre un plaisir certain, si l’on continue de manger des films de Kung Fu, c’est aussi dans l’espoir de tomber sur de petites perles. Et en l’occurrence, ce Rebellious reign remplit une bonne partie des critères.

Action ! Tel est le mot d’ordre qu’il convient de rappeler dès maintenant. Car il ne faut pas se le cacher, ce n’est pas au niveau de l’intrigue que l’on va trouver des raisons de s’emballer. Cette dernière, bien que correctement ficelée, sent le déjà vu mille lieues à la ronde. Elle a au moins le mérite de permettre aux combats de faire leur apparition à de nombreuses reprises. Et là, quel bonheur ! Rythmés, chorégraphiés avec rigueur et précision, ils sont le principal atout du film. Les combinaisons sont variées, et lorsque les affrontements mettent en scène de nombreux protagonistes, comme lors d’un final ahurissant – et très long, 17mn non-stop !, avis aux amateurs -, la caméra ne se perd pas et jongle entre les différents échanges. Si elle suit en priorité les acteurs majeurs pour que l’on puisse profiter au mieux de leurs capacités martiales, chacun a son mot à dire et peu démonter ses aptitudes. Il en ressort une effervescence non dissimulée conclue de la plus belle des manières qui soit. Belle surprise.
A noter l’absence de sous titres anglais sur le VCD, mais que cela ne vous empêche pas d’en prendre plein la vue !

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Auteur : Best

Même après toutes ces années, les fights et autres cascades lui sont d’une réjouissance sans pareil. Les tranches de vie où les personnages sont au cœur des débats sont toujours un ravissement. Qu’il s’agisse d’un film bien con ou de toute autre chose, peu importe. Le bonheur cinématographique se trouve partout. Comme le veut la formule ; « Qu’importe le flacon, pourvu qu’il y ai l’ivresse ».
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