Vous connaissez peut-être Alex Proyas, le réalisateur de The Crow ou Dark City, un réalisateur prometteur mais qui est rapidement rentré dans le rang et ayant pour la suite de sa carrière pondu des bobines somme toute assez lambda, pour ne pas dire moyennes. Si si, Predictions et I Robot, c’était franchement moyen…
Voilà que déboule il y a quelques jours la bande annonce de son nouveau film, Gods of Egypt. La vision de celle-ci fût indescriptible, entre consternation et éclats de rire, un dégueulis de millions de dollars (140M$US de budget tout de même) semblant littéralement se vautrer dans le nanar involontaire puissance mille. 2min16 de bouillie visuelle avec des Dieux au design périmé, un Gerard -This is Sparta !- Butler qui semble désabusé, et un scénario qui s’annonce épique : « Un voleur et un dieu se lancent dans un quête magique au milieu des pyramides et des sphinxes. » (Source : Allocine).
Les premiers mots venus à ma bouche suite au visionnage furent : « Mais qu’est-ce que c’est que cette merde !?! » suivis d’un « Mais pourquoi !?! ». Je ne suis pas un grand amateur de blockbusters hollywoodiens blindés de fric, mais je sais reconnaitre tout de même quand ça peut-être fun. Là non, ça s’annonce mauvais, mais vraiment épiquement mauvais. Alex Proyas, dis nous, qu’est-ce qu’il se passe…
Pour les plus courageux d’entre vous, ça sort en février prochain.
Allez, je vous colle la fameuse bande annonce histoire que chacun puisse juger du degré zéro de la chose